15e ÉDITION DU FESTIVAL DE LA DIVERSITÉ CULTURELLE
13 – 26 mai 2025
Le festival de la diversité culturelle revient en 2025 avec une programmation riche et internationale.
Il propose plusieurs expositions à travers Paris Centre, des concerts, des événements littéraires qui font le bonheur des visiteurs et des spectateurs.
Le festival s’ouvre avec une exposition de photos au Carrousel du Louvre placée sous l’égide du Ministère d’État de la Science, de la Culture et du Tourisme de Saxe et de la Mairie de Dresde.
Des expositions d’artistes internationaux sont proposées au Wilde Art Center, à la Ellia art Gallery … venant de Chine, Belgique, Italie, Mexique, France …
La programmation musicale du festival s’ouvre avec un concert de la violoniste franco-suisse Ophélie Gaillard et du contreténor franco-brésilien, Luan Goes puis d’autres concerts de musique classique auront lieu ainsi qu’un concert de rock ce qui ravira les mélomanes.
Le festival fête sa 15e édition en 2025, il a été créé sous l’impulsion de Carla Arigoni, Présidente du Comité d’animation Culturelle Paris 1 car elle souhaitait organiser un événement fédérateur dans le quartier de Paris Centre autour du 21 mai dont la finalité est la célébration des cultures et des savoir-faire du monde entier.
Il est patronné par la Commission nationale française pour l’UNESCO dans le cadre de la « Journée mondiale de la Diversité culturelle pour le dialogue et le développement des Peuples ».
PROGRAMME
Mardi 13 mai à 19h Inauguration du Festival
Carrousel du Louvre – 99 rue de Rivoli 75001 Paris
Inauguration du Festival mardi 13 mai à 19h
Sur invitation
Exposition photographique « La Saxe à Paris » organisée par TOP MAGAZIN et Michel Anders-Cavendish du 13 mai au 10 juin. accès gratuit
Imaginée en collaboration avec la région de Saxe et la ville de Dresde, cette exposition photographique invite les visiteurs à découvrir l’architecture, l’histoire, les savoir-faire et les paysages d’un territoire profondément ancré. Exposition placée sous l’égide du Ministère d’État de la Science, de la Culture et du Tourisme de Saxe et de la Mairie de Dresde.
Grâce, à l’exposition « La Saxe à Paris », le Carrousel du Louvre illustre la volonté de faire rayonner les patrimoines internationaux en les rendant accessibles à tous dans son centre.
Mercredi 14 mai à 12h30
Centre Wallonie Bruxelles –Bistrot littéraire 127-129 Rue Saint-Martin, 75004 Paris
Rencontre « Surprise » en lien avec l’actualité littéraire. Les noms seront dévoilés début mai. Llecture et séance de dédicaces avec deux auteurs, autrices publiant une nouveauté. Accueil dès 12h
Jeudi 15 mai à 18h Vernissage
WILDE Art Center – « Clin d’œil du festival » 4-6-8, rue François Miron 75004 Paris
15 au 25 mai – 11h -19h – entrée libre Vernissage : exposition collective d’artistes internationaux. Co- commissaires Carla ARIGONI et Yanni CHEN.
Entrée libre
Charles-Joseph de Ligne, né à Paris en 1980, est un artiste franco-belge dont le parcours traverse les disciplines, les cultures et les territoires. Issu d’un environnement profondément imprégné d’art et de patrimoine — entre catalogues de ventes aux enchères, porcelaines impériales chinoises et maîtres anciens — il a choisi, non pas la collection, mais la création.Le travail de Charles-Joseph de Ligne interroge les limites de la photographie traditionnelle. À travers une approche résolument expérimentale, il conçoit ses œuvres comme des espaces de résonance émotionnelle et sensorielle. Chaque image est le fruit d’une prévisualisation mentale, où les formes, la lumière et les couleurs sont pressenties avant d’être matérialisées.
Pierre Emmanuel Duprat travaille et vit à Paris. Né en 1962, il expose et publie régulièrement depuis 30 ans. Son livre numéroté “Emmanuel en Amérique” a été présenté en 2006 au Centre Pompidou. Photographe dada, peintre, écrivain, son travail joue avec les limites de la figuration et de l’abstraction, du quotidien et des rêves. Il a reçu le prix de la ville de Barbizon en 2000. Ses peintures et photos sont dans les collections privées et publiques.
LOU Haiyang, diplômé de l’Académie des Beaux- Arts de Chine en 1995, vit et travaille actuellement à Hangzhou.
Les corps s’entrelacent, et dans cette exploration mutuelle, c’est une plongée dans les émotions, une incarnation des sentiments. Les couleurs et les organes se mêlent et s’égarent dans une poésie sinueuse, jusqu’à atteindre un monde de pure jouissance sensorielle.
LIANG Dongmei, membre de l’Association des femmes peintres de Chine, Artiste chinoise résidant en Grèce.
Cette série d’œuvres trouve son inspiration dans les formes végétales.
L’artiste décline ces formes originelles à différentes échelles, dans un processus de reproduction infinie, donnant naissance à une vision du végétal à la fois abstraite et vibrante. Ainsi, les formes perçues ne se limitent pas à de simples plantes ; elles incarnent des entités en mutation constante, évoluant au rythme des flux de la vie et de leur environnement. Au-delà de l’équilibre et de la symétrie inhérents à l’esthétique traditionnelle, ces œuvres se distinguent par une composition visuelle d’une grande complexité et une structuration irrégulière, ouvrant un champ infini de possibilités et révélant ainsi, avec encore plus de profondeur, leur portée philosophique.
XIA Jiqing, né en Chine en 1974, immigré spirituel permanent en France.
Sur sa toile, l’encre se déverse en un chaos primitif, telle l’ombre d’un empire qui s’étend inexorablement sur son territoire pictural. Le carbone, consumé par les flammes, se fracture en croix. À travers ces deux forces noires, l’artiste chinois Xia Jiqing transperce les apparences de la civilisation contemporaine. La croix carbonisée flotte entre le réel et l’illusion – un jugement dernier face au raz-de-marée de la mondialisation, une interrogation éternelle sur la possibilité du salut. Lorsque la flèche des cathédrales occidentales se reflète dans la profondeur des encriers orientaux, le carbone en fusion cristallise une nouvelle Divine Comédie. L’enfer et le paradis s’accomplissent dans la métamorphose de la matière, bouclant ainsi le cycle du destin. Le titre de l’exposition, “Face à moi, le Créateur refermera-t-il la Bible ?”, s’élève telle une épée de bronze, tranchant le parchemin des mythes de la création. Cette alchimie noire est à la fois une dissection implacable de la géopolitique et une expérimentation philosophique sur l’ADN de la civilisation – alors que les êtres à base de carbone s’arrogent le privilège de la création, le sacré et la destruction s’entrelacent sous le pinceau de l’artiste.
HUANG Chen, peintre originaire de Hong Kong (Chine), membre de l’Association des artistes de Hong Kong et artiste sous contrat avec l’Association chinoise pour les échanges culturels et artistiques avec l’Espagne (APICA).
L’inspiration de cette exposition provient de L’Errance Libre de Zhuangzi, une quête de liberté absolue au- delà de la vie quotidienne, une harmonie avec la nature et l’acceptation sereine du destin. C’est la satisfaction et la tranquillité tirées de « l’utilité de l’inutile ». À travers des touches de couleur, l’artiste transcende le temps et l’espace pour voyager librement.
Chen Xiangbo, né en 1963, est vice-président de l’Association des artistes de Guangdong et ancien directeur du musée Guan Shanyue de Shenzhen. Il explore la fusion entre la tradition et la modernité dans la peinture chinoise, considérant que « l’encre moderne » n’est pas en opposition avec la tradition, mais constitue une symbiose résultant d’un « métissage » culturel. Ses œuvres combinent l’esthétique orientale et la technologie, insulant une vitalité contemporaine à l’art de l’encre. La grande série de peintures à l’encre Mémoire de l’ère industrielle trouve son origine dans les souvenirs marquants de Chen Xiangbo lors de la construction du musée Guan Shanyue. Trente ans plus tard, il les retranscrit sous forme artistique. Par une composition au design ra né et des lignes fluides et variées, l’artiste transforme les souvenirs de l’ère industrielle en langage pictural. Grâce aux variations d’encre – entre densité et transparence, sécheresse et humidité –, l’œuvre exprime la profondeur de l’époque et la résonance émotionnelle de l’artiste. En fusionnant l’encre traditionnelle avec des thèmes contemporains, cette série confère à l’art de l’encre une nouvelle signification ancrée dans notre époque, devenant ainsi un pont artistique entre passé et présent.
Anna Mari (Italie), alias Unusualmentor, née à Florence, est diplômée en architecture dans les années 70 et devient assistante de Thomas Maldonado aux Dams de Bologne. Dans les années 80, à Milan, elle est l’une des principales architectes qui fusionnent l’art et le design. Anna a conçu plusieurs « environnements totaux », qu’elle a elle-même définis comme un style jouant avec les mots : « Soviet Rokoko, Punk Chinese…». Dans les années 90, elle a été invitée à la XXVe Biennale de Venise par le commissaire Achille Bonito Oliva, qui l’a définie comme Transavanguardia, avec une performance mettant en vedette ses sculptures en verre, avec Matteo Licitra et le Freddie Hubbard Quintet comme événement spécial. Au Musée Pecci (Prato, Florence) en 1990, avec le conservateur Amnon Barzel, il participe à une performance musicale et artistique avec Matteo Licitra. La même année, avec Bruno Cora, le commissaire invite Anna Mari dans son centre d’art « Opera » (Pérouse). Harald Szeemann – Commissaire d’exposition (1999) a invité Anna Mari à la Biennale de Venise pour montrer son travail sur verre « l’œil de la connaissance ». Dans les années 2000, en tant qu’architecte, il a conçu la Fondation Ferrero à Alba et plusieurs domaines privés au Cap Ferrat, à Monte Carlo pour la famille Ferrero, à Milan, à Londres et à Paris. En tant que scénographe, elle a réalisé quelques installations pour la maison de luxe Maison de la Perle, UNESCO, Place Vendôme, Place du Louvre (Paris), Pitti, Fortezza da Basso Leopolda, Pitti, (Florence), Musée Guggenheim (NYC). Ses œuvres en verre réalisées à Murano sont présentes dans diverses galeries et musées à travers le monde
Kamila Dzhakaeva, née à Khosrekh, village perché dans le Caucase, elle transfigure cet héritage en un langage contemporain :« La tradition est un alphabet pour écrire le présent ». Ses œuvres explorent l’interaction entre corps et espace, mêlant art numérique et installation immersives pour questionner notre perception de l’environnement physique et virtuel. Représentante des Laks (Daghestan), peuple de moins de 200 000 habitants, elle puise dans une culture préservant artisanat ancestral, chants polyphoniques et un rapport symbiotique à la montagne. Ses projets tissent un dialogue entre racines et futur, transformant l’identité lak en récit universel.
HE Hua, artiste sculpteur chinois, résidant actuellement à Shenzhen.
La grue, esprit céleste du règne animal, incarne la noblesse, l’élégance et la persévérance, tout en dégageant une énergie vitale d’une grande puissance. Elle semble accompagner des mélodies légères et envoûtantes, célébrant l’harmonie entre l’homme et le ciel. Tel un chevalier ou un érudit de l’Antiquité, alliant courage et sensibilité, elle suscite une émotion à la fois poétique et poignante. L’artiste est fasciné par la forme gracieuse de la grue et profondément inspiré par son esprit noble.
Vendredi 16 mai à 12h30
Théâtre Essaïon – 6 Rue Pierre au Lard, 75004 Paris
« La dissolution » par Anne Caumont la Force aux éditions Dacres – Interviewée par Patricia Hostein
L’Empereur Napoléon 1er et l’Impératrice Joséphine : une histoire dans l’Histoire, une histoire de passion entre deux personnalités qui ont fait la France et l’Empire
Entrée libre sur réservation => [email protected]
Vendredi 16 mai à 20h30
Église Saint-Louis en l’ile – 19 bis Rue Saint-Louis en l’Île, 75004 Paris
Concert baroque « Napoli» avec la violoncelliste et chef, Ophélie Gaillard et le contreténor Luan Goes , orchestre Pulcinella.
Marraine de l’événement Ève Ruggieri
www.ophelie-gaillard.fr
www.forumopera.com
Le programme unique réunit la violoncelliste Ophélie Gaillard, son ensemble Pulcinella, et le contre-ténor Luan Góes pour un voyage musical fascinant entre Naples et le Brésil. Conçu etidéalisé par Luan Góes, ce programme s’appuie sur les œuvres du disque Napoli! pour explorer des liens historiques et culturels insoupçonnés entre ces deux rives de l’Atlantique.
Entrée payante => Réservation en ligne sur ce lien
Samedi 17 mai à 20h
Église Sainte-Elisabeth de Hongrie 195 rue du Temple 75003 Paris
« Madame Elisabeth » Opera version concert.
Opéra « Madame Elisabeth » version concert de Jean Galard sur un livret de Dominique Sabourdin
Sous la direction de Jacques Cochard. Avec Amandine Portelli, Madame Elisabeth, Candice Albardier Madame Royale, Anne-Laure Dollié la Reine.
Chœur Canta Oraque
Entrée libre sur réservation => [email protected]
Lundi 19 mai à 15h
Institut culturel du Mexique – 119 Rue Vieille du Temple 75003 Paris
Visite privée – -expo – Sensacional
Version élargie du livre éponyme, Sensacional de Diseño Mexicano est une exposition itinérante qui célèbre l’art graphique populaire mexicain à travers
une riche variété de supports visuels : dessins muraux, flyers, emballages, panneaux et a ches. Ces œuvres capturent l’essence vibrante de la vie quotidienne au Mexique, avec ses couleurs éclatantes, ses saveurs, et l’intensité des émotions qui l’animent. Conçue par Trilce Ediciones, l’exposition a vu le jour en Californie en 2003 avant de voyager dans des institutions prestigieuses aux États-Unis, notamment à New York, San Francisco, Boston et San Antonio.
Elle a aussi traversé l’Atlantique pour être présentée en Europe à Glasgow et Saragosse, et a rencontré un grand succès à Bogotá et à Alexandrie.
Entrée libre sur réservation => [email protected]
Mardi 20 mai à 18h Vernissage
Maison des Associations – MVAC – 5bis rue du Louvre 75001 Paris
Vernissage sur invitation “La prose du francilien” exposition photographique de Victor Coucosh.
“La prose du francilien” exposition photographique de Victor Coucosh. L’œuvre a été réalisée pendant deux ou trois ans sur Iphone.
Pour ce travail Victor Coucosh a reçu le Grand Prix d’Auteur 2013 de la Fédération Photographique de France.
www.photoclubperignat-allier.com
Mardi 20 mai : 10h – 21h | Mercredi 21 mai : 10h – 17h
Entrée libre
Mercredi 21 mai à 18h30 Vernissage
ELLIA ART GALLERY – 10 rue de Turenne 75004 Paris
Exposition du 21 au 30 mai qui propose de découvrir les œuvres de trois artistes contemporains internationaux.
Entrée libre
Mauro Maugliano, né en 1967 à Tivoli, Italie, et diplômé de l’Académie des Beaux-Arts de Rome en 1991, cet artiste explore la complexité des relations humaines et l’aliénation contemporaine à travers ses œuvres conceptuelles. Ses anti- portraits innovants représentent la perte d’identité individuelle dans la société moderne, utilisant la peau comme métaphore et des codes-barres tatoués pour symboliser l’uniformisation mentale face au changement social.
Paul Gallaud est un designer et artiste plasticien né en 1994, passionné par la création depuis son plus jeune âge. Ses œuvres ont été exposées dans diérentes galeries, notamment au Musée MUba Eugène Leroy , chez FRACAS et chez Bruno Massa. Son travail s’inscrit dans l’abstraction géométrique, l’OpArt et l’in-situ, explorant la matière avec des compositions dynamiques et évolutives.
Joachim Romain, né en 1973 au Havre, est un artiste français qui explore les couches d’informations présentes dans les a ches publicitaires, révélant les facettes de la société de consommation. Sa série Fastshop utilise des photographies de sites de ventes en ligne, dévoilant des corps de modèles qui semblent presque disparaître, traduisant ainsi la rapidité excessive de la tendance à la consommation.
Assylem Artiste française, originaire d’Île-de-France, Assylem associe nudité et pop Art pour explorer les émotions, la beauté de l’anatomie humaine et les codes visuels de notre époque. Inspiré par des figures comme Egon SCHIELE, Denis SARAZHIN, Shain WOLF et Andy WARHOL, ASSYLEM crée des œuvres vibrantes qui marient un regard juste sur notre société et palettes de couleurs éclatantes. Dans cette exposition, ASSYLEM oriente son travail vers une réflexion sur la génération Z, les dynamiques des relations sociales et l’identité collective en mêlant son univers réaliste à l’esthétique des années 2000. Ces œuvres, entre traditions et modernité, captent l’esprit d’une génération à la recherche de sens dans un monde hyper connecté.
Jeudi 22 mai à 20h
Église Saint-Germain l’Auxerrois – 2 Pl. du Louvre 75001 Paris
Concert « Messe en ré » de Dvorak – Chorale de la Cité Internationale universitaire de Paris
Entrée libre sur réservation => [email protected]
Bienvenue en Bohème ! Découvrez cette merveilleuse région à travers la musique d’Antonín Dvořák, notamment la lumineuse et intime _Messe en Ré Majeur_ , ainsi que les _Duos Moraves_, miniatures délicates et caractéristiques du folklore tchèque. Sous la baguette de Marie Mouttet et avec Antoine Simon au piano, le Chœur de la Cité internationale vous invite à (re)découvrir cette musique authentique et pleine de caractère.
Vendredi 23 mai à 12h30
Théâtre de L’Île Saint-Louis – Paul Rey 39 Quai d’Anjou, 75004 Paris
Rencontre “La plus résistante de toutes” aux éditions Stock 2023 et Points 2024 de Nicole Bacharan Interviewée par Patricia Hostein
https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicole_Bacharan
Entrée libre sur réservation => [email protected]
Vendredi 23 mai à 18h
Galerie Looloolook – 12 Rue de la Sourdière 75001 Paris
Exposition « Trace : La mémoire du mot »Commissaire exposition : Joanna Teisseyre Misha ZAVALNY (Ukraine) , Hugo SOURY, Sehaj MALIK (Inde) et Clément PLAQUET
Entrée libre
Joanna Teisseyre : Curatrice diplômée d’un Master 2 en Histoire de l’Art à l’École Pratique des Hautes Études (EPHE) et d’un Master 2 en Muséologie à l’École du Louvre, elle exerce actuellement comme assistante de conservation au Centre National des Arts Plastiques (Cnap). Avec une solide expérience en recherche, appuyée par deux mémoires publiés, elle a développé sa pratique curatoriale auprès de différentes galeries parisiennes, ainsi qu’avec des comités curatoriaux. Son travail l’a menée à collaborer avec des artistes internationaux. Sa démarche, ouverte à la critique contemporaine, s’inspire de penseurs comme Yves Michaud et Jean Baudrillard.
Sehaj Malik (atelier Wernher Bouwens) Spectrum (« spectre d’un processus qui a eu lieu »)
Sehaj Malik est une artiste et étudiante indienne dont le travail explore la relation entre mouvement corporel, espace et mémoire, inspirée par son enfance dans l’usine familiale de tracteurs en Inde. Diplômée des Beaux-Arts de Paris en Fresque et art en situation (2024), elle réalise des dessins au fusain cartographiant des mouvements répétitifs, rendant visible son processus créatif. Elle a exposé notamment aux Théâtres des Expositions et au festival We Love Green.
Hugo Soury (Atelier Bouwens) Res (« rétention indicielle de marques inscrites sur un support »)
Hugo Soury est artiste et étudiant en troisième année aux Beaux-Arts de Paris, dans l’atelier de Werner Bouwens. Son travail se développe à travers une approche multidisciplinaire, mêlant techniques traditionnelles et numériques : sérigraphie, linogravure, lithographie, offset, photographie… Maîtrisant l’ensemble des outils de l’édition, il détourne les images en les soumettant à leurs propres processus de fabrication. Dans ces manipulations, l’image devient trace, matière, altération — un objet unique né de la répétition même. Nourri de souvenirs d’atelier, il développe une esthétique du geste minutieux, du recyclage, et de la mémoire manuelle. Ses œuvres sont autant d’expériences imprimées du temps.
Clément Plaquet (atelier Wernher Bouwens) Studium (« détermination d’un pattern interprétatif cohérent et crédible »)
Clément Plaquet est un artiste qui explore subtilement l’espace par des interventions discrètes et méthodiques. Formé en verre sou lé à la Tokyo University of the Arts (2024), il étudie actuellement en cinquième année aux Beaux-Arts de Paris, où il est moniteur en impression lithographique et offset.
Son travail récent a été présenté lors des expositions « Cercles des Fous de Bassan » (« Mondes Nouveaux », 2023) et à la galerie de la Tokyo University of the Arts (2024), invitant à repenser la perception de l’espace, entre scénographie et immersion.
Misha Zavalniy Documentum (« accréditation en tant que témoignage ou preuve »)
Misha Zavalniy est un artiste spécialisé en gravure et lithographie, diplômé du Publishing and Printing Institute de l’Université Technique Nationale de Kiev (2008) et des Beaux-Arts de Paris (2022). Son travail explore la dualité entre réel et virtuel, utilisant des techniques graphiques variées telles que la lithographie, l’eau-forte et le monotype, ainsi que la photographie. Résident à la Cité Internationale des Arts en 2019, ses œuvres questionnent l’omniprésence technologique et invitent à une réflexion sur l’identité dans un monde hyper-connecté. Il a notamment exposé au Palais de Tokyo.
Vendredi 23 mai
Centre Wallonie Bruxelles – 127-129 Rue Saint-Martin, 75004 Paris
Evènement autour de la vie et l’œuvre de Bernard Dadié au Centre WBEn constellation de l’exposition Paris noir organisée par le Centre Pompidou (Jusqu’au 30 juin 2025), le Centre Wallonie Bruxelles à Paris, en complicité avec la Fondation Bernard Binlin-Dadié, consacre le 23 mai une journée à la vie et l’œuvre de cet écrivain tutélaire et homme politique
ivoirien.
La programmation de cet évènement s’articule en 3 temps :
– une table ronde avec des spécialistes de l’auteur
– une projection du documentaire Bernard B. Dadié, un homme de liberté | www.tv5mondeplus.com
– une lecture mise en espace d’extraits de la pièce Béatrice du
Congo de Dadié , avec entre autres la participation d’étudiant.e.s de l’Institut des Arts et de Diffusion ( Louvain la Neuve, Belgique)
Samedi 24 mai à 18h
WILDE Art Center concert Rock – 4-6-8, rue François Miron 75004 Paris
Entrée libre
Concert groupe SPARK of SOUL revisite les titres de Soul et de Rhythm’n’blues des années 70
Dimanche 25 mai à 20h
Église Saint-Louis-en-l’Île – 19 bis Rue Saint-Louis en l’Île 75004 Paris
Entrée payante
La 1ère partie du concert sera consacrée au Jazz et dirigée par Francois Meyer, tromboniste.
- Benoît FROMANGER – Ex-soliste de l’Opéra de Paris, chef d’orchestre du Basque
- Luc HERY – Violon solo de l’Orchestre National de France
- WANG Wei – Ex-flûtiste de l’Orchestre National de Chine, professeur au Conservatoire Rachmanino et de l’Orchestre à corde de Paris – Composé de musiciens de l’Orchestre National de France.
www.ospb.eus
www.maisondelaradioetdelamusique.fr
ADRESSES DES DIFFÉRENTS LIEUX
– Carrousel du Louvre – 99 rue de Rivoli – Paris 1er – www.westfield.com
– Centre Wallonie Bruxelles – 127-129 Rue Saint-Martin – Paris 4e – www.cwb.fr
– WILDE Art center – 4 rue François Miron – Paris 4e – www.wilde-lelieu.com
– Église Saint-Louis-en-l’Île – 19 bis Rue Saint-Louis en l’Île – Paris 4e – www.saintlouisenlile.catholique.fr
– Église Sainte Élisabeth de Hongrie – 195 Rue du Temple – Paris 3e – www.sainteelisabethdehongrie.fr
– Institut culturel du Mexique – 119 Rue Vieille du Temple – Paris 3e – www.icm.sre.gob.mx
– Théâtre de l’Essaïon – 6 Rue Pierre au Lard – Paris 4e – www.essaion-theatre.com
– Maisons des Associations – 5bis rue de Louvre – Paris 1er – mairiepariscentre.paris.fr
– Ellia Art Gallery – 10 rue de Turenne et 18 rue de Turenne, Paris 4e – www.ellia-artgallery.com
– Looloolook galerie – 12 rue de la Sourdière, Paris 1er – www.looloolook.com
– Théâtre de l’Île Saint-Louis – 39 quai d’Anjou, Paris 4e – www.theatre-ilesaintlouis.com
– Église Saint-Germain l’Auxerrois – 2 Place du Louvre, Paris 1er – www.saintgermainlauxerrois.fr
Une édition spéciale de TOP MAGAZIN en français est réalisée à l’occasion du festival et disponible dans les différents lieux sous la direction de Michel Anders-Cavendish.
ORGANISATION FESTIVAL DE LA DIVERSITE CULTURELLE
Carla Arigoni (Comité d’animation culturelle Paris 1)
+33 (0) 6 14 67 57 99
[email protected]
Coordination générale Carrousel du Louvre et Espace Wilde
Olga Rigaud (Royal group)
[email protected]
Presse
Éléonore Grau
[email protected]